L’ancienne ministre des Solidarités et des Familles est accusée par des députés de gauche de « faux témoignage » pour avoir affirmé, sous serment devant une commission d'enquête parlementaire, n’avoir aucun lien personnel avec une lobbyiste des crèches privées.
La « demande d’engagement de poursuites » pénales contre Aurore Bergé a été validée, le 9 octobre, par 10 voix « pour » et neuf voix « contre », lors d’un vote du bureau de l'Assemblée nationale, au sein duquel la gauche est majoritaire. – L'ex-ministre des Solidarités et des Familles aujourd’hui députée « Ensemble pour la République » – est accusée par des députés de gauche de « faux témoignage », pour avoir récusé, le 30 avril, devant une commission d’enquête tout lien personnel avec une lobbyiste des crèches privées.
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