La Cour européenne des droits de l’homme a condamné la France, le 14 septembre, pour avoir refusé de rapatrier deux mères françaises et leurs enfants, détenus depuis 2019 dans les camps kurdes du nord-est syrien. Cette décision ne consacre pas pour autant un "droit général au rapatriement" pour les personnes toujours retenues dans les camps syriens.
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