« Carte monofamille », garde alternée, pensions alimentaires : un plan d'action pour les familles monoparentales
Un rapport sénatorial sur le soutien aux familles monoparentales plaide pour une « carte monofamille » afin de faciliter l'accès aux droits des parents isolés. Il propose aussi de revoir le mode de calcul des pensions alimentaires en tenant compte des revenus du parent.
La protection de l'enfance absente de la feuille de route de Michel Barnier
Michel Barnier a prononcé sa déclaration de politique générale le 1ᵉʳ octobre à l’Assemblée nationale. La fermeté envers la délinquance juvénile a été privilégiée par le Premier ministre, au détriment d'une politique ambitieuse pour la protection de l'enfance.
Journée de mobilisation des professionnels de la petite enfance le 1ᵉʳ octobre
Le Syndicat national des professionnels de la petite enfance (SNPPE) appelle à une mobilisation nationale le 1ᵉʳ octobre pour dénoncer la « dégradation » des conditions de travail et la « marchandisation » de l’accueil des jeunes enfants.
La crèche est le meilleur mode de garde pour le développement de l'enfant, selon une étude internationale
La crèche collective est un mode de garde qui aide à prévenir les difficultés émotionnelles et de comportement des enfants. C’est ce qui ressort d’une analyse d’ampleur menée dans cinq pays européens, dont la France.
Crise de la PJJ : « Nous attendons beaucoup de la façon dont le garde des Sceaux traitera ce dossier »
La contestation se poursuit à la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) : l'intersyndicale – SNPES-PJJ/FSU, CGT PJJ-Justice, Interco PJJ-CFDT et Unsa SPJJ – appelle à une nouvelle journée de mobilisation le 3 octobre.
La CNCDH exhorte la France à appliquer les décisions de la CEDH
La CNCDH rappelle à l'État français son obligation de se conformer aux jugements de la CEDH, notamment en ce qui concerne la protection des mineurs non accompagnés.
La Meurthe-et-Moselle expérimente un revenu jeunes à partir d’octobre
À partir du 1er octobre, la Meurthe-et-Moselle va expérimenter un « revenu d'émancipation jeunes » pour des jeunes de 16 à 25 ans ayant « peu ou pas de revenus ». Ce dispositif s'inscrit dans une démarche similaire à celles déjà engagées dans la Métropole de Lyon et en Loire-Atlantique.