Le tribunal correctionnel de Châteauroux a requis, le 18 octobre, des peines pouvant aller jusqu'à sept ans d'emprisonnement pour les principaux acteurs du réseau d'accueils illégaux d’enfants de l’aide sociale à l'enfance (ASE). Ce procès interroge la responsabilité des pouvoirs publics et appelle à une refonte de la protection de l'enfance.
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