Alors que l'intersyndicale de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) dénonce le non-renouvellement de plus de 500 postes de contractuels (éducateurs, assistants sociaux, psychologues) en septembre, retour sur le déficit d'attractivité chronique de cette administration.

Dans un document intitulé « 12 mesures pour la justice des enfants » et publié fin juin, le Syndicat de la magistrature, le syndicat des avocats de France (SAF) et le SNPES-PJJ/FSU réclament un « plan de titularisation et de formation des contractuels en poste », afin que l’ensemble des professionnels des services de la PJJ soient « des fonctionnaires qualifiés, formés aux besoins de l’enfant, à la santé mentale et aux sciences de l’éducation ». Et d'insister : « Afin de redonner au travail social et éducatif le sens de ses missions et la reconnaissance qui lui est due, il est temps de revaloriser les filières sociales/éducatives et administratives pour restaurer l’attractivité de ces métiers ».

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