L'audition des associations (UNICEF France, le collectif Jamais sans Toit et le collectif École pour tous), le 23 mai, par la délégation aux droits des femmes du Sénat au sujet de la situation des 3000 enfants à la rue a été l'occasion de revenir sur les faiblesses et les dérives de l'aide sociale à l'enfance (ASE).
Pour lire la suite, rejoignez notre communauté d’abonnés
Je découvre les offresVos avantages
- L’accès illimité à tous les articles, décryptages, dossiers et interviews de la rédaction
- Une information vérifiée, analysée et documentée
- Un média indépendant et animé par des journalistes spécialistes du secteur social et médico-social