Expérimenté pendant quatre ans, le parcours de soins coordonné pour les enfants et adolescents confiés à l'aide sociale à l'enfance (ASE) ou sous protection judiciaire devrait entrer dans le droit commun début 2026. Une bonne nouvelle mais des inquiétudes persistent.
La santé des enfants protégés ou ceux suivis par la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) est-elle en passe de devenir une priorité pour les pouvoirs publics ? La coordination des soins placée au cœur du dispositif « Santé protégée » devrait y contribuer. Si toutefois les moyens financiers sont au rendez-vous.
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