Alors que la loi Taquet a instauré des contrôles d'antécédents judiciaires (notamment de nature sexuelle) systématiques et à intervalles réguliers pour les professionnels de la protection de l'enfance (y compris les bénévoles), une exception notable persiste : les tiers de confiance échappent à cette obligation.
Pour lire la suite, rejoignez notre communauté d’abonnés
Je découvre les offresVos avantages
- L’accès illimité à tous les articles, décryptages, dossiers et interviews de la rédaction
- Une information vérifiée, analysée et documentée
- Un média indépendant et animé par des journalistes spécialistes du secteur social et médico-social